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1.
Health sci. dis ; 19(1)2018.
Article in French | AIM | ID: biblio-1262782

ABSTRACT

Introduction et objectifs. L'association du diabète aux pathologies oto-rhino-laryngologiques est un fait classique. Cette association constitue par la difficulté thérapeutique et la gravité de ses complications, un problème clinique et thérapeutique. Notre étude avait pour but de décrire la prise en charge des pathologies ORL chez les diabétiques à l'Hôpital National Donka. Méthodologie. Il s'agit d'une étude transversale descriptive effectuée au mois de mai 2015. Elle a concerné tous les patients diabétiques vus en ambulatoires ou hospitalisés aux services ORL-CCF et d'Endocrinologie-Diabétologie de l'Hôpital National Donka, présentant un signe ORL et ayant accepté de participer à l'étude. Résultat. La prévalence des pathologies ORL chez les diabétiques était de 33%. Les sujets âgés d'au moins 56 ans étaient les plus représentés (75%) avec un écart type de 15 et des extrêmes de 2 et 90 ans. Les patients sans revenu étaient les plus atteints (58,6%). 78,9% des patients vivaient en zone urbaine. La quasi- totalité des patients ont été examiné en ambulatoire (92,9 %). Le diabète de type II a dominé la série (94,6%). L'hypertension artérielle représentait 51,6% des pathologies associées. L'hyperglycémie à jeun a été retrouvée chez 84,6% des patients (P=0,01). La rhino sinusite était la pathologie la plus fréquente (72,3%). Les antibiotiques, l'antalgique, la corticothérapie ont été les plus utilisés. Conclusion. Chez le sujet diabétique avec affection ORL, le diabète est le plus souvent mal contrôlé. La rhinosinusite est la pathologie la plus fréquente


Subject(s)
Africa South of the Sahara , Diabetes Mellitus , Otorhinolaryngologic Diseases/complications
3.
Mali méd. (En ligne) ; 21(4): 42-46, 2006. tab
Article in French | AIM | ID: biblio-1265496

ABSTRACT

Il s'agit d'une étude rétrospective de type descriptif sur une période de 4 ans, allant du 01Avril 1999 au 31 Mars 2003. L'objectif était de déterminer les facteurs liés à la morbidité et à la mortalité des affections rénales dans le service de Néphrologie du CHU de Conakry. L'étude a portésur 606 patients hospitalisés dont 21 dialysés. Les paramètres de l'étude étaient l'âge, le sexe, lafréquence des affections rénales, la mortalité, les pathologies associées, le délai de consultation, laprise en charge, le traitement reçu avant l'hospitalisation, la durée d'hospitalisation, les horaires de décès et certains facteurs de risque cardio-vasculaires (tabac, alcool). Les malades ayant réponduaux critères de sélection étaient 365 hommes (60,23%) et 241 femmes (39,77%) avec un sex-ratio de1,51. La moyenne d'âge était de 44 ± 17 ans avec des extrêmes de 15 et 95 ans ; 16,34% des patients étaient âgés de moins de 25 ans et 14,03% avaient plus de 65 ans. Selon la prise en charge, 462 (76,24%) étaient à la charge de leur entourage, seuls 144 (23,76%) pouvaient se prendre en charge pour les soins. Selon le traitement reçu avant l'hospitalisation, 357 avaient consommé des décoctions de feuilles et de racines, 86 avaient consulté un centre de santé. La durée moyenne d'hospitalisation a été de 13 ± 9 jours avec des extrêmes de 1 et 80 jours. Le tabagisme avait été observé chez 183 malades dont 181 hommes et l'alcoolisme chez 134 malades dont 122 hommes. Les affections rénales étaient l'insuffisance rénale chronique (51%), l'hypertension artérielle (30,36%), les glomérulonéphrites chroniques (8,09%), l'insuffisance rénale aiguë (7,59%), les infections urinaires (1,65%) les glomérulonéphrites aiguës (0,99%) et le cancer du rein (0,33%). Parmi eux, 130 décès avaient été observés soit 21,45%. Selon le délai écoulé avant la consultation, 24 décès étaient survenus 2 semaines après le premier symptôme et 106 après plus d'un mois.Suivant les horaires, 33 décès (25,38%) étaient survenus entre 8h et 16h et 63 décès (48,47%) entre 16h et 8h ; dans 34 cas, l'heure n'était pas précisée. La mortalité était due à l'insuffisance rénale chronique dans 97 cas, soit 74,61%, à l'hypertension artérielle dans 19 cas, soit 14,62% et aux autres affections dans 14 cas, soit 0,77%. Les infections, le diabète, l'hypertension artérielle et la drépanocytose étaient les facteurs de risque rénal. Les facteurs de morbidité et de mortalité étaient nombreux et variés à savoir : le retard à la consultation, le traitement traditionnel, le faiblerevenu des malades, l'absence de couverture sanitaire, le manque de prise en charge correct au cours des gardes, le manque d'équipement adéquat et l'absence d'éducation sanitaire populaire


Subject(s)
Acute Kidney Injury , Guinea , Morbidity , Mortality , Nephrology , Renal Insufficiency
4.
Benin medical ; : 27-30, 2005.
Article in French | AIM | ID: biblio-1259620

ABSTRACT

Les objectifs de l'étude étaient de préciser les conditions d'utilisation et la fiabilité des résultats des lecteurs de glycémie utilisés par le personnel soignant au Centre Hospitalier et Universitaire (CHU) de Conakry. Chaque lecteur en utilisation (n=21) a été testé sur les mêmes prélèvements capillaires, en normoglycémie et en hyperglycémie par rapport à la valeur cible de référence : l'analyseur HemoCue B glucose®. Des données complémentaires ont été recueillies au près de chaque utilisateur qui a été ensuite soumis à une observation directe pendant qu'il effectuait une glycémie. Les appareils recensés étaient de la marque Life scan® (n=17) et Roche® (n=4). Le modèle le plus utilisé était le One Touch Basic® (n=7). En moyenne, les résultats rendus par les différents lecteurs de glycémies s'écartaient de la référence de 0,09 g/L (soit 9,7% de la valeur de référence) en normoglycémie et de 1,40g/l (soit 26%) en hyperglycémie. Les valeurs obtenues par 81% des lecteurs de glycémie étaient à plus de 15% de la valeur cible de référence. Aucun utilisateur n'employait les bandelettes de contrôle. Deux lecteurs étaient souillés de sang et aucun port de gants lors de la réalisation des glycémies n'a été observé. La formation des utilisateurs et un contrôle de qualité régulier des lecteurs de glycémies pourraient prévenir le risque induit de traitement inadapté ou de transmission nosocomiale d'infection


Subject(s)
Blood Glucose , Blood Glucose Self-Monitoring , Guinea , Hygiene , Quality Control
5.
Benin medical ; : 52-55, 2005. tab
Article in French | AIM | ID: biblio-1259623

ABSTRACT

L'objectif de ce travail était de décrire les principales lésions retrouvées et d'identifier les facteurs de risque associés aux lésions du pied diabétique parmi les patients suivis au CHU de Donka. Nous avons réalisé une étude de type cas-témoins dans laquelle 30 patients qui avaient un pied diabétique (cas) ont été comparés à 60 patients diabétiques indemnes de lésion du pied (témoins) selon les caractéristiques de personne, celles du diabète, les facteurs de risque cardiovasculaire et les complications liées au diabète. Les lésions observées étaient l'infection dans 22 cas (62 %), la gangrène sèche dans 9 cas (26 %), l'ostéite dans 3 cas (9%) et le mal perforant plantaire dans 1 cas (3%). Les facteurs de risque du pied diabétique identifiés étaient la neuropathie sensitive (p=0,006), l'artérite des membres inférieurs (p=0,001) et le mauvais équilibre glycémique (p=0,01). Un bon équilibre du diabète associé à une éducation de ces patients à risque podologique élevé, focalisée sur ces facteurs de risque, permettrait de prévenir les lésions du pied


Subject(s)
Diabetes Mellitus , Diabetic Foot , Disease Prevention , Guinea
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